Au printemps, le risque de feux de forêt est plus important qu’il n’y parait.

La SOPFEU souligne qu’au printemps, les pompiers municipaux et les pompiers forestiers de la SOPFEU interviennent en moyenne sur 275 incendies affectant la forêt.

À cette époque de l’année, malgré le temps frais et les sols encore humides, le risque d’incendie est souvent très élevé. En fait, avant l’apparition de la feuillaison et de la verdure, le combustible au sol est composé d’herbes fanées, de feuilles mortes et de broussailles sèches, qui sont hautement inflammables. Il suffit de quelques heures d’ensoleillement et d’un peu de vent pour que la végétation morte s’assèche rapidement et que le niveau du danger d’incendie grimpe de façon substantielle. Un feu peut alors se propager sur une bonne distance et menacer la forêt de même que les bâtiments à proximité.

La collaboration de tous demeure essentielle pour en réduire le nombre !

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